Je songeais aux dindons et dindes qui peuplent maintenant les arènes de l'Assemblée Nationale....
On a même des buses au perchoir...
Et delà, me revient le livre de Georges Orwell, la Ferme des animaux.
Tout le monde dit que ce serait une critique du communisme.
C'est la version officielle, mais je ne peux m'empêcher de songer à notre situation actuelle
, et surtout au fait que le processus démocratique est systématiquement dévoyé par des populistes en tout genre, les vautours du gouvernement, en premier.
Tout leader politique se présente comme un paon et nous appelle Léon.
Il se fait passer pour un cygne, alors que c'est un affreux petit canard.
La blanche colombe se révèle être un oiseau de mauvais augure.
La conclusion du livre est accablante:
Les années passent et la ferme est de plus en plus riche. Les cochons sont devenus énormes alors que les autres animaux se noient sous la masse de travail. Les cochons font une apparition sur deux pattes. Un nouveau slogan est décrété : « Quatre pattes, bon ! Deux pattes, mieux ! ». Il y a également une nouvelle inscription au mur : « Tous les animaux sont égaux mais certains sont plus égaux que d’autres ».
"Dehors, les yeux des animaux allaient du cochon à l'homme et de l'homme au cochon, et de nouveau du cochon à l'homme ; mais déjà il était impossible de distinguer l'un et l'autre."
Quelque part, nous avons remplacé des politiciens aguerris par des néophytes qui se mettent à transformer notre démocratie en république bananière, qui fait des sessions marathon en 50 heures, refusant des amendements sans aucune légitimité, voulant forcer à des votes à main levée...
Bien entendu en refusant la prise en compte du vote blanc.
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